Viorne de David – Viburnum
CHF69.50
Viburnum davidii
Description
Description
Le viorne de David est un arbuste nain dont les pousses sont denses et régulièrement ramifiées. De mai à juin, les fleurs blanches à la teinte rose et au parfum délicieux se détacheront du feuillage vert foncé, persistant. La plante produit également des fruits bleu en septembre, non comestibles. Son faible développement permet de l’utiliser comme couvre-sol dans de petits massifs.
Informations complémentaires
Informations complémentaires
Le genre Viburnum compte plus de 150 espèces réparties dans toutes les zones tempérées et subtropicales de l’Hémisphère nord. Seuls le viorne obier (V. opulus) et le viorne lantane (Viburnum lantana) sont indigènes en Europe, toutes les autres espèces étant réparties sur les continents asiatique et nord-américain.
Les viornes possèdent un feuillage aussi bien persistant, semi-persistant que caduc. Les feuilles sont entières, lobées ou lancéolées, opposés, parfois en verticille. La coloration du feuillage en automne peut varier du jaune (V. opulus, V. lantana) au rouge-violacé (V. plicatum, V. x bodnantense).
Les viornes possèdent une très grande variation de fleurs. Appelées aussi communément « boule de neige », les viornes proposent aussi bien des inflorescences plates (V. lantana, V. plicatum, V. opulus) qu’en forme de boule (V. x bodnantense, V. carlesii, V. x burkwoodii). Ces fleurs déploieront leur charme au printemps pour la plupart des espèces, en hiver pour quelques-unes. La floraison est dans la plupart des cas délicatement parfumée.
L’aspect décoratif des viornes est complété, pour certaines espèces, de beaux fruits colorés rouge, jaunes ou oranges (V. lantana, V. opulus). D’autre seront noirs et plus discrets.
Plantation et utilisation
Les viornes sont amateures de chaleur et se prêtent bien à une utilisation dans des sols modérément secs à frais, légèrement alcalins. D’une manière générale, les viornes préfèrent un sol plutôt plus frais que trop sec.
Les viornes sont particulièrement adaptées à la composition d’écrans arbustifs, indigènes ou non. Seules quelques espèces, comme V. plicatum, méritent une plantation en isolé.